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"L'ART HERALDIQUE, lire, décrire, composer des armoiries" de Gérard Audoin.
"CD GENHERAL6 & HERALDIQUE" de S. de Pas
"CD ARMORIAL GENERAL" de J.B. Rietstap
"A COMPLETE GUIDE TO HERALDRY" de C. Fox-Davies
"ARMORIAL DU BIBLIOPHILE" de Joannis Guigard
"BOOK-PLATES (Ex-Libris)" de William John Hardy
"THE ELEMENTS OF HERALDRY" de M.A. Porny
"HERALDISCHER ATLAS" de Hugo Gerard Strohl
"ARMOIRIES FRANCAISES ET SUISSES SUR LA PORCELAINE DE CHINE AU XVIIIe SIECLE" de Antoine LEBEL
"JETONS & MEREAUX, depuis Louis IX jusqu'à la fin du consulat de Bonaparte" de F. Feuardent.
"JETONS & MEREAUX, depuis Louis IX jusqu'à la fin du consulat de Bonaparte" de F. Feuardent.
"LE LIVRE DES DEVISES" de Michel Orcel
"L'ART HERALDIQUE au moyen age" de Michel Pastoureau.
"BESTIAIRE MEDIEVAL Enluminures" de Monique Le Tac
"ARMORIAL DES XXXI ROIS DE TOURNAI" de Michel Popoff
"BOUTONS DE LIVREE DE FABRICATION FRANCAISE (1ère série)" de Thierry de Bodard et Dominique Perrin
"L'ABEILLE ET LA RUCHE, SYMBOLES ET ARMOIRIES" de Serge Martin
"ARMORIAL DUBUISSON" de Pierre-Paul Dubuisson
Donne le blasonnement d'environ 3.000 familles bretonnes mais aussi fourmille
d'informations inédites qui n'avaient pas été retenues par les érudits du
XIXe (notamment Potier de Courcy...). Pour la première fois, un auteur avait réuni en un seul ouvrage, toutes les armoiries dont il avait pu avoir connaissance et quantité de détails intéressants l'histoire sociale, cela pour les évêchés de Léon et Tréguier, mais aussi pour toute la province. Peu de noms lui ont échappé et à cet égard, l'armorial donne une photographie de la population armoriée, à savoir majoritairement la bourgeoisie et la noblesse, à la veille des réformations colbertiennes.
Nous avons donc sous les yeux le tableau vivant d'une société, certes hiérarchisée, mais encore peu rigidifiée, connaissant de nombreuses passerelles pour accéder ou s'agréger au second ordre... et d'autres pour déroger.
"ARMORIAL ET NOBILIAIRE DE L'ANCIEN DUCHE DE SAVOIE (1863-1944)", du Comte E. Amédée de FORAS,
"DES FLEURS DE LIS ET DES ARMES DE FRANCE" de Jean Bernard Cahourd d'Aspry
"L'ARMORIAL D'ANDRE RINECK" de Jean-Christophe Blanchard
"L'ARMORIAL DE HANS INGERAM" publié par Emmanuel de Boos.
"L'HERITAGE SYMBOLIQUE DES HERAUTS D'ARMES" de Claire Boudreau, préface de Michel Pastoureau.
"JARDIN D'ARMOIRIES DE M. BORREKENS, représentation de l'estat tant ecclesiastique que seculier de la très noble et souveraine comte et province de Hainaut" de Jean-Marie van den Eeckhout
"ARMORIAL HISTORIQUE DES ARCHEVÊQUES DE LYON" de Michel Francou
"LE GRAND ARMORIAL DE LA TOISON D'OR, L'armorial de Flandre" de Jean-Marie van den Eckhout
"LES HERAUTS D'ARMES A L'EPOQUE MODERNE" de Christophe Parry,
"GLOSSAIRE HISTORIQUE ET HERALDIQUE, l'archéologie des mots" de Jean-Francois Demange
"ARMORIAL DU PREMIER EMPIRE" de Philippe Lamarque
"ARMORIAL IMPERIAL SOUS NAPOLEON III", de Philippe Lamarque
LE GRAND ARMORIAL EQUESTRE DE LA TOISON D'OR
"CINQ ETUDES D'HERALDIQUE ET DE SYMBOLIQUE ETATIQUE" de Hervé Pinoteau
"JEUX DE CARTES ET DE L'OIE HERALDIQUE, aux XVIIe et XVIIIe siècles", de Philippe Palasi.
CDAF, CD pour PC contenant l'armorial sous forme de fichier PDF
"searchable": 60 €
"HERALDIQUE MEDIEVALE BRETONNE, IMAGES PERSONNELLES (vers 1350-1500), armoriaux, sceaux, tombeaux" de Martine Fabre.

Le Cabinet des titres, conservé à la division occidentale du Département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France, est l'héritier des archives des juges d'armes et des généalogistes du Roi, et des épaves de celles des généalogistes des Ordres du Roi. Il n'avait, jusqu'à présent, jamais fait l'objet d'une présentation détaillée.
"BLASONS ET ARMOIRIES, TEMOINS DE NOTRE HISTOIRE" de Pierre Derveaux.
Pendant longtemps les historiens ne se sont guère préoccupés de l'animal. Ils ont abandonné celui-ci aux recueils d'anecdotes et à la "petite histoire", comme ils avaient l'habitude de le faire pour tous les sujets qui leur semblaient futiles ou marginaux. Depuis deux ou trois décennies, cependant, la situation a changé, et l'animal est enfin devenu un objet d'histoire à part entière. Dans cette mutation les médiévistes ont joué le rôle principal. A cela plusieurs raisons dont la première se trouve dans les documents médiévaux eux-mêmes : ceux-ci sont particulièrement bavards sur l'animal et sur ses relations avec les hommes, les femmes et la société. Il semble bien qu'en Occident, aucune autre époque ne l'ait aussi fréquemment et intensivement pensé, raconté et mis en scène. Le présent dictionnaire propose, pour chaque animal, un bilan de ce que l'étude des documents médiévaux nous apprend à son sujet.
"HISTOIRE MYTHIQUE DE LA FLEUR DE LYS - COMPLEMENTS" de Serge Martin.
En décidant de faire place, dans le vaste panorama de l'histoire de France auquel devait être consacré le chateau de Versailles, d'abord à une salle, puis à un ensemble de salles vouées à l'évocation des croisades, le roi Louis-Philippe reprenait une tradition à la fois iconographique et historiographique, en même temps qu'il innovait. Depuis quelque deux siècles, la peinture d'histoire avait défini son objet et ses répertoires. Répondant à des commandes de souverains ou de
grandes familles, elle avait pour premier objet d'exalter un règne, une dynastie, une suite d'ancêtres. C'est ainsi que Marie de Médicis avait fait décorer le palais du Luxembourg de tableaux évoquant son accession au trône et les fastes de son règne ; les victoires de Louis XIV ornaient les murs de Versailles.
Les Français avaient eu à célébrer les croisades de saint Louis, mais ces tableaux relevaient davantage de l'hagiographie que de l'histoire et pouvaient trouver place dans les représentations
pieuses. Ainsi le décor de la sacristie de Saint-Denis, exécuté sous le Premier Empire, se rattache à une tradition qui présentait le saint roi en lutte avec les Infidèles, en mettant l'accent sur les épreuves qu'il avait eues à affronter ; il s'agissait moins d'une épopée nationale que de la glorification du
saint. Ce n'était pas les croisades en tant que telles que l'on avait demandé jusque là aux peintres de représenter: c'est en cela que Louis-Philippe innovait.
"ARMORIAL DU TARN, Tome I (A-D)" de Charles Portal, archiviste du Tarn (1890-1927)
"ARMORIAL DU TARN, Tome II (E-M)" de Charles Portal, archiviste du Tarn (1890-1927)
"ARMORIAL DU TARN, Tome III (N-Z)" de Charles Portal, archiviste du Tarn (1890-1927)
Depuis la nuit des temps, l'histoire de la chevalerie en Corse est indissociable de celle de la terre. Au Moyen Age, les chroniqueurs ont rapporté avec tous les détails les expéditions menées dans l'île contre les barbaresques par des nobles Romains ou Toscans, lesquels, leur mission accomplie, ont donné naissance sur place à toutes les premières familles seigneuriales. Plus tard, la résistance désespérée du féodal Giampaolo de Leca à l'envahisseur Génois, et son dramatique dénouement, furent le symbole du patriotisme Corse et jusqu'à une époque très récente, les porteurs des vieux noms constituaient l'essentiel de la classe dirigeante dans l'île. On peut affirmer qu'en Corse, il y a assez de familles aristocratiques d'origines très diverses, pour que la densité nobiliaire y dépasse largement la moyenne française. D'où l'intérêt constant manifesté par les Corses pour l'étude de leurs origines.
"LES ARMORIAUX, Histoire heraldique, sociale et culturelle des armoriaux
médiévaux" volume 8 des Cahiers du Léopard d'Or, collection dirigée par Michel Pastoureau.
"L'ARMORIAL DE CONINCK, seigneurs et chevaliers en Flandre au XIVe siècle" de Jean-Marie van den Eeckhout
"LA FIGURE HÉRALDIQUE DU CHEVAL", de Philippe Lamarque,
"L'HERALDIQUE DANS L'ORDRE DE SAINT-JEAN DE JERUSALEM" de
Claude André Fougeyrollas
"LE CIMIER, MYTHOLOGIE, RITUEL, PARENTÉ, des origines au XVIeme siècle"
"Dictionnaire HÉRALDIQUE" de Ch. M. de Saint-Melaine
"LE SANGLIER HERALDIQUE" de Bernard Marillier,
"LA SYMBOLIQUE ROYALE FRANCAISE, Ve - XVIIIe siècle" de Hervé Pinoteau
"DU BLASON DES CHEVALIERS aux marques de fabrique" de
Jean-Bernard Cahours d'Aspry