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FAMILLES ROYALES, DUCALES ET PRINCIÈRES, ASCENDANCES, DESCENDANCES
BIOGRAPHIES, GENEALOGIE DE LA FAMILLE ROYALE, HISTOIRE
MAISON DE BOURBON ET D'ORLEANS, BONAPARTE

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"HISTORIA GENEALOGICA FAMILIAE REGIAE PORTUGALLICAE" de Jacob Wilhelm Imhof
HGFR, REPRINT 2010, 16,5 x 23, broché, 88 p., (en latin) 55 €
Cet ouvrage peu connu et rare du celebre généalogiste nurembourgeois a été imprimé a Amsterdam en 1708 et représente, avec leurs armoiries, les généalogies des maisons souveraines qui régnèrent sur le Portugal et les familles de leurs descendants.

"LES DUCS FRANCAIS" de Ghislain Crassard.
DUCS, 2007, 17 x 24, 316 p., 45 €, en promotion 39 €
Etat présent des 43 maisons ducales et princières, mis à jour en 2007, pour former la suite des DUCS FRANCAIS de Hubert Cuny et du GOTHA FRANCAIS de Nicole Dreneau. Maisons étudiées : ABRANTES (Maison LE RAY) - Titre éteint, ALBUFERA (Maison SUCHET), ARENBERG, AUDIFFRET PASQUIER, AUERSTEDT (Maison D'AVOUT), BASSANO (Maison MARET) - Titre éteint, BEAUFFREMONT (Maison de BEAUFFREMONT COURTENAY), BEAUVAU CRAON, BLACAS (Maison de BLACAS d'AULPS), BRISSAC (Maison de COSSE), BROGLIE, DES CARS (Maison de PERUSSE), CLERMONT TONNERRE, CROY, DECAZES de GLÜCKSBIERG, ESSLING de RIVOLI (Maison de MASSENA), FAUCIGNY LUCINGE et COLIGNY, FELTRE (Maison de GOYON), FITZ JAMES, GRAMONT, HARCOURT, LA FORCE (Maison de CAUMONT), LA MOSKOWA (Maison de NEY d' ELCHINGEN), LA ROCHEFOUCAULD, LORGE (Maison de DURFORT CIVRAC), LUYNES (Maison d'ALBERT de LUYNES), MAGENTA (Maison de MAC MAHON), MAILLE (Maison de MAILLE de LA TOUR LANDRY), MONTEBELLO (Maison LANNES), MORTEMART (Maison de ROCHECHOUART), MURAT, NOAILLES, OTRANTE (Maison FOUCHE), POLIGNAC, PRASLIN (Maison de CHOISEUL PRASLIN), REGGIO (Maison OUDINOT), ROHAN, ROHAN-CHABOT, SABRAN (Maison de SABRAN PONTEVES), SAN FERNANDO LUIS (Maison de LEVIS MIREPOIX), TALLEYRAND et SAGAN (Maison de TALLEYRAND PERIGORD), UZES (Maison de CRUSSOL), WAGRAM (Maison BERTHIER).

"UNE ASCENDANCE FRANÇAISE, Les quartiers généalogiques du Prince Amaury et des Princesses Charlotte, Élisabeth, Zita de Bourbon de Parme" de C. Papet Vauban.
PAPET, 2009, 19 x 27, 238 p., 45 €
Avec méthode, Christian Papet Vauban a reconstitué les 512 quartiers généalogiques représentant les 1 024 ancêtres du prince Amaury de Bourbon de Parme et de ses soeurs ; il constate naturellement leurs origines royales mais aussi une dominance de familles françaises nobles et parfois bourgeoises. La présentation historique de familles alliées complète cette étude parmi lesquelles : Andlau, Armagnac de Castanet, Aubert de Vincelles, Belhomme de Franqueville, Bignon, Boisgelin, Broglie, Bruat, Castellane, Caulaincourt, Caumont La Force, du Chastel de La Howarderie, Chaudru de Raynal, Cillart de La Villeneuve, Coëtlosquet, Conrad, Coppin de Grinchamps, Maison royale de Danemark, Daubrée, Decencière Ferrandière, Dieusy, Esnoul de Livaudais, Frisch de Fels, Guéroult, Guignard de Saint-Priest, Haber, Labat de Savignac, La Brousse de Verteillac, La Cour de Balleroy, La Forest Divonne, Laurens, Le Beuf de Montgermont, Lebaudy, Le Dall de Kéréon, Legrand de Villers, Le Mercher de Longpré d’Haussez, Le Peletier, Le Sénéchal de Kercado, Leusse, Maignard, Marnix, Maurian, Michel de Saint-Albin, Moges, Montesquiou, Moreau, Mornay, d’Orglandes, Patin, Patoul, Pazery, Perrin de Cypierre, Piou, Polissard, Posuel, Poulletier, Raigecourt-Gournay, Ravinel, Riquet de Caraman, Rolland de Sillans, Roslin, Rouff, Schnetz, Soult, Suau de La Croix, Thibault de Ménonville, Toulouse-Lautrec, Vidart, Vigneron, Villeneuve de Vence, Vischer de Celles.

"LA DESCENDANCE DES BATTENBERG-MOUNTBATTEN" de Michel Sementery.
BATT, 2009, 16 x 24, 180 p., 25 €
En 1851, un prince allemand, Alexandre de Hesse brave sa famille en épousant morganatiquement une aristocrate polonaise. Naitront cinq enfants qui effaceront la "faute de leurs parents" en faisant des mariages prestigieux avec des membres de dynasties regnantes. Par ses mariages, la famille deviendra pratiquement l'équivalent d'une maison souveraine. Les descendants d'Alexandre se retrouvent en 2009 dans les familles souveraines ou regnantes de Grande-Bretagne, de Hanovre, de Grèce, de Hesse, de Bade, de d'Espagne, de Serbie, du Luxembourg et dans de nombreuses familles de l'aristocratie européenne.

"LA DESCENDANCE DE DOM MIGUEL DE BRAGANCE ROI DU PORTUGAL 1802-1866" de M. Da Rocha Carneiro
BRAG, 2009, 17 x 24, 128 p., 29 €
La maison royale de Portugal - maison de Bragance - est issue en droite ligne d'Hugues Capet, père de Robert le Pieux, dont l'un des petits-fils, Henri, reçut par alliance la terre de Porto et se fit comte de Portugal. Quant au Fils de ce dernier, Alphonse Ier, il se déclara roi du Portugal en 1143. Sa descendance se sépara en plusieurs branches, qui régnèrent sur le Portugal jusqu'en 1910. C’est en 1640, que la branche cadette, dite des ducs de Bragance, à l’extinction des autres blanches, accéda au trône. A la mort en 1826 du roi Jean IV, roi du Royaume-Uni de Portugal, du Brésil et des Algarves, son fils aîné se fit sacrer empereur du Brésil, laissant la couronne portugaise en dot à sa fille, la reine Maria II. Frustré dans ses droits, le fils puîné de Jean IV, l'infant dom Miguel débarqua en 1828 à Lisbonne et fur proclamé roi de Portugal sous le nom de dom Miguel Ier. En 1831, au terme d'une guerre civile et fratricide, dom Miguel Ier fut contraint à s'exiler tandis que la reine Maria II recouvrait son trône. A l’extinction en 1932 de la branche issue de dona Maria, le petit-fils du roi dont Miguel Ier, dom Duarte Nuno, duc de Bragance, devint chef de la maison royale de Portugal, en réunissant Sur sa tête les droits dynastiques des deux branches. Aujourd'hui, le sang de cette illustre dynastie se perpétue dans les maisons impériales, royales ou ducales d'Arenberg, d'Autriche, de Bavière, de Belgique, de Bourbon de Parme, d'Espagne, de Grèce, de Hongrie et de Bohême, d'Italie et de Savoie, de Liechtenstein, de Luxembourg, des Pays-Bas, de Roumanie, de Suède, de Yougoslavie... Mais aussi dans les maisons médiatisées d'Auersperg, Croy, Galitzine, Ligne, Lowenstein-Wertheim-Rosenberg, Saxe-Cobourg et Gotha, Sayn-Wittgenstein-Sayn, Schonborn-Wiesentheid, Toerring-Jettenbach, Tour et Taxis, Urach, Waldburg zu Zeil und Trauchburg, Windisch Gratz... Dans cette descendance prestigieuse, on croise également certaines des plus grandes familles de la noblesse européenne, mais aussi des noms plus surprenants comme le promoteur immobilier Robert de Balkani, le chanteur Gilbert Bécaud, le champion de tennis Borin Becker, l’actrice Clotilde Courau, la fille du maréchal Leclerc de Hauteclocque... Contribution à l’histoire politique de l'Europe d'aujourd'hui, l'ouvrage, avec une table riche de près de 2000 noms cités, constitue un précieux gisement pour les amateurs de généalogie.

"MILLE ANS D'HISTOIRE DE LA FAMILLE DES PRINCES GAGARINE" de Miguel Cardon de Lichtbuer
GAGA, 2009, 21 x 29,7, 956 p., nombreuses ill. couleurs, cartes et tableaux généalogiques, 150 €
L'histoire de cette illustre famille s'etend sur plus de 1000 ans. Elle descend de Rurik, fondateur de la Russie, de saint Wladimir, qui imposa le christianisme en Russie ainsi que du fondateur de Moscou. Cette histoire millenaire nous apporte une vaste culture établie par cette famille princière et nous apprend comment cette famille a intégré et conservé cet héritage familial en l'adaptant chaque fois à l'évolution humaine, aux variations des situations présentes et à celle de la vie contemporaine.

"LA DESCENDANCE DE NAPOLÉON Ier EMPEREUR DES FRANÇAIS" de Eddie de Tassigny
DESN, 2009, 15,5 x 24, 240 p., 40 €
Biographie de ses trois fils racontée par eux-mêmes, notice complète des 158 descendants, plus de 150 portraits et illustrations en N & B (la plupart inédits), nombreux tableaux généalogiques. Les amateurs de généalogie napoléonienne savent bien qu’outre l’Aiglon, décédé célibataire, Napoléon Ier eut deux fils naturels. Le second (le comte Walewski) était issu de ses amours avec Marie Walewska, son «épouse polonaise», et le premier (le comte Léon), beaucoup plus obscur, était né de sa courte liaison avec une certaine Éléonore Denuelle de La Plaigne, lectrice de sa soeur Caroline Murat. Tous deux ont eu des descendants qui sont encore représentés à ce jour ; l’auteur s’en est allé les traquer dans leur quotidien. Un livre très riche en informations qui montre, notamment, qu’un fils de l’Empereur était un modeste fabricant d’encre, qu’un de ses petits-fils était écuyer du cirque de Buffalo Bill et qu’un arrière-petit-fils exerçait la profession de coiffeur. En «bonus», l’auteur répertorie les prétendus enfants de Napoléon – au nombre de vingt-deux !, citant aussi une fille que la rumeur attribua au roi de Rome.
Table des noms cités

"LE CD DE LA DESCENDANCE CAPETIENNE" de F. Gunst-Horn.
DECA, 2009, 45 €
La nouvelle édition du CD-ROM contient un tableau généalogique armorié de 230.000 personnages (55.000 de plus que la précédente édition) et intègre un armorial de 4.000 blasons en couleur illustrant les armes de plus de 100.000 personnages.

"VICTORIA ET NAPOLEON III, HISTOIRE D'UNE AMITIE" de Antoine d'Arjuzon
VINA, 2007, 15 x 21, 310 p., 20 €
Contrairement à ses prédécesseurs, Victoria connaît et aime la France. Napoléon III a vécu une partie de sa jeunesse en Angleterre et ce pays l'a profondément marqué. En 1855, la Grande-Bretagne et la France s'allient contre la Russie dans la guerre de Crimée. Victoria et Napoléon III se rencontrent. Naît alors entre les deux souverains une étonnante, mais sincère amitié qui va résister à l'usure du temps et aux vicissitudes de la politique étrangère française. C'est non seulement une belle page dans l'histoire des relations entre la France et l'Angleterre qui est contée dans ce livre, mais aussi une grande aventure humaine dans laquelle s'entrelacent la raison et le coeur.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DES PRINCES DE MONACO, LES GRIMALDI et leurs alliances des origines à nos jours" de Michel Demorest
GRIM, 2008, 21 x 29, 25 €
L'histoire de la maison Grimaldi est inextricablement liée à celles de la République de Gênes et de la principauté de Monaco. La famille Grimaldi descend de Grimaldo, un homme d'état génois à l'époque des premières Croisades, qui devint Consul de Gênes en 1162, 1170 et encore en 1184. Ses innombrables petits-enfants et leurs progénitures menèrent des expéditions maritimes d'envergures sur les eaux de la mer Méditerranée, de la mer Noire, et bientôt de la mer du Nord, et s'imposèrent rapidement comme l'une des plus puissantes familles de la Commune de Gênes. Les Grimaldi craignaient qu'une famille rivale ne vint à rompre le fragile équilibre politique par un coup d'état qui leur aurait imposé un seigneur, comme on a pu le voir dans d'autres villes italiennes. Ils entrèrent dans une alliance guelfes avec la famille Fieschi et défendirent leurs intérêts à la pointe de l'épée. Ayant essuyé un revers sanglant, les Guelfes furent bannis de la cité-état en 1271, et trouvèrent refuge dans leurs forts de Ligurie et en Provence. Fidèles aux Angevins, ils signèrent un traité avec Charles d'Anjou, roi de Naples et comte de Provence, afin de reprendre le contrôle de Gênes et, plus généralement, de se promettre une assistance mutuelle. En 1276, ils acceptèrent une paix négociée sous les auspices du Pape. Ce ne fut cependant qu'une pause qui ne devait pas mettre fin à l'état de guerre civile chronique. Tous les Grimaldi ne rentrèrent pas à Gênes, et certains choisirent de s'établir dans leurs fiefs, où ils pouvaient plus facilement lever des armées.

"LA SPECTACULAIRE HISTOIRE DES ROIS DES BELGES" de Patrick Roegiers
HRB, 2008, 16 x 24, 450 p., 22 €
Ce livre raconte l'histoire de la Belgique à travers la vie de ses rois. Chaque souverain est saisi à un moment emblématique de son règne. Léopold Ier quand il entre dans un pays où il n'a jamais mis les pieds ; Léopold II, en tricycle sur la digue d'Ostende, se rendant chez sa maîtresse ; Baudouin le jour où il refuse de signer la loi sur la dépénalisation de l'avortement. Les femmes, les frères, mais aussi les enfants décédés ou naturels (une tradition monarchique) sont les figures secondaires d'un roman familial qui se lit comme un véritable roman-feuilleton, avec ses coups de théâtre et ses rebondissements. Le fantasme de l'abdication, récurrent chez chaque monarque, le culte du secret, les angoisses (folie, phobie, neurasthénie), les accidents, les guerres, les drames, les haines et les rivalités sont les ressorts cachés d'une grande aventure individuelle et collective. Loin de toute hagiographie, cet ouvrage décapant traite les rois non comme des figures de papier, mais comme des individus réels qui ont un corps, des failles, une personnalité propre et, si possible, une vie privée.

"LES BONAPARTE" de Charles Napoléon
LBONA, 2006, 14 x 22,5, 292 p., 21 €
Depuis le projet corse porté au XVIIe siècle par Paoli et Charles Bonaparte,les Bonaparte furent les serviteurs, et parfois les pionniers, des idées démocratiques, souvent contre les aristocraties et les élites traditionnelles. Charles Bonaparte s'est battu pour l'affranchissement de ses compatriotes corses. Après l'épopée napoléonienne, c'est Lucien, promoteur du coup d'État du 18 brumaire, et Jérôme, le plus jeune des frères, roi de Westphalie, qui perpétuent la tradition. Son fils le prince `NapoléonJérôme, sous le Second Empire, ardent promoteur du principe des nationalités et de l'émancipation des peuples, est ouvertement républicain, soucieuxx de la condition ouvrière. Exilés en 1886, les descendants du roi Jérôme, Victor, puis son fils Louis, résistant, entretiennent cette flamme. Quant à Marie Bonaparte, descendante de Lucien, elle illustre l'esprit de la famille dans un autre domaine, la psychanalyse. Aujourd'hui, l'arrière-arrière-arrière-petit-fils de Charles, en présentant le portrait de ses ancêtres, montre comment l'histoire familiale nourrit l'action au présent.

"GENEALOGIE DES ROIS ET DES DUCS DE BRETAGNE" de Michel Desmoret.
GDBR, 2007, 21 x 29, 25 €
Ensemble de royaumes indépendants jusqu'à la fin du VIIIe siècle, la Bretagne est envahie au nom de Charlemagne par le comte Gui en 798-799. À la fin du VIIIe siècle, la Bretagne entre dans l'orbite de l'Empire carolingien et ses institutions sociales et politiques sont similaires à celles du royaume de Francie occidentale. La Bretagne n'est pas intégrée à l'Empire mais en devient tributaire. C'est de cette ancienne situation juridique que les ducs de Bretagne tirent leur légitimité à refuser (refus jamais total) l'hommage aux rois de France, à la fin du Moyen Âge. En effet, ils ne tiennent pas leurs terres de l'Empereur, qui reconnaît leur souveraineté. Après plusieurs soulèvements qui mettent fin à la courte domination des Francs et qui entraînent des expéditions franques en 801, 811, 818, 824 et 837, Nominoë se proclame roi unique de Bretagne en 844, vainc Charles le Chauve à la bataille de Ballon (845) et obtient en 846 la reconnaissance de l'indépendance totale de la Bretagne. Par la suite (vers 856), la Bretagne reste un royaume unifié jusqu'en 907, date de la mort d'Alain le Grand (ou 919, début de la domination normande). En 939, quand Alain dit Barbe-Torte est couronné, il renonce au titre de roi pour des raisons non explicitées. La plupart de ses successeurs font de même.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DES COMTES ET PRINCES D'ORANGE" de Michel Desmoret
HORA, reprint 2007, 21 x 29, 25 €
La principauté d'Orange était une principauté souveraine enclavée dans la Provence ayant sa capitale à Orange dans le Vaucluse (France). Le titre de prince d'Orange est porté par le prince Guillaume-Alexandre des Pays-Bas de la maison d'Orange-Nassau. Le comté d'Orange, devenu principauté d'Orange en 1181, était un fief du Saint Empire romain germanique, car elle faisait partie du royaume de Bourgogne. Elle bénéficiait donc des droits féodaux et de la souveraineté propre aux terres d'Empire. Cette principauté est passée en 1173 à la maison des Baux, puis en 1388 à la maison de Châlon, et en 1544 à la maison de Nassau. Le dernier descendant de cette maison, René de Chalon, marié à Anne de Lorraine (fille du duc Antoine de Lorraine), laissa la principauté à son cousin Guillaume Ier d'Orange-Nassau (Guillaume le Taciturne), qui n'était pas un descendant des princes originels. En 1673, Louis XIV annexa tout le territoire de la principauté dans le cadre des guerres menées contre le stadhouder Guillaume III d'Orange (qui deviendra plus tard le roi Guillaume III d'Angleterre et d'Écosse). L'acquisition fut reconnue définitive au traité d'Utrecht en 1713.

"LA DESCENDANCE DE FRANCOIS-JOSEPH Ier, Empereur d'Autriche", de Jacques et Nelly Parisot
Ref. DFJ, 2003, 17 x 24, 320 p., 60 €
L'empereur et son épouse eurent quatre enfants : Sophie, décédée en bas-âge ; Gisèle, épouse du prince Léopold de Bavière ; Rodolphe, marié à la princesse Stéphanie de Belgique ; Marie-Valérie qui épousa l'archiduc Franz Salvator de la branche de Toscane. Avec minutie, les auteurs ont recensé les nombreux descendants du couple impérial dont la postérité couvre, en septembre 2003, sept générations. D'où une riche descendance qui vit actuellement, dispersée à travers l'Europe - principalement en Autriche et en Allemagne - l'Amérique, l'Afrique et même l'Australie. Cette descendance fait apparaître une grande diversité de situations sociales. L'énumération des professions permet une intéressante étude sociologique. De nombreuses notes historiques et généalogiques complètent cette étude agrémentée d'une précieuse iconographie souvent inédite. Seize tableaux permettent de situer les descendants par rapport à l'empereur Francois-Joseph. Avec un index de plus de 1 300 noms cités, cet ouvrage constitue un précieux gisement pour les chercheurs et les amateurs de généalogie.

"CONTRE ENQUETE SUR L'AFFAIRE LOUIS XVII" de Hugues Trousset.
CEAL, 2007, 16 x 24, 120 p., 20 €
Les résultats des tests ADN pratiqués en l'an 2000 sur le coeur prélevé par le docteur Pelletan à la tour du Temple le 9 juin 1795, sur la dépouille du jeune Louis XVII, semblaient avoir clos les débats : il s'agissait d'un enfant de Louis XVI et Marie-Antoinette. Pourtant des interrogations subsistent. Hugues Trousset démontre avec un éclairage nouveau la forte présomption d'identité entre le jeune prisonnier du Temple inhumé le 10 juin 1795 au cimetière Sainte-Marguerite et l'enfant anonyme dont la dépouille a été exhumée en 1846 dans le même cimetière. Mais l'enfant mort au Temple, très grand pour ses dix ans, était-il vraiment Louis XVII, ou un enfant substitué? D'autre part, les tests ADN ont-ils été faits sur le coeur de Louis XVII, ou celui de son frère aîné, le premier dauphin, mort à huit ans en 1789. Reprenant l'affaire Louis XVII avec clarté et méthode, Hugues Trousset s'est livré à une véritable contre-enquête, distinguant les faits établis des nombreuses spéculations.

"LES BOURBONS AVANT HENRI IV, LES SIRES ET DAMES DE BOURBON (915-1327)" de Jacques Chateau
Ref. SDB, 2006, 12 x 19, 148 p., 22 €
Mais qui étaient ces sires de Bourbon dont est issu Henri de Navarre qui accède au trone de France en 1589 ? Ce sont les fils d'Aimard, qui - au début du Xe siècle - avait fondé le prieuré clunisien de Souvigny. Avec patience et détermination, les Bourbon vont faconner par la force, par la diplomatie et par leurs mariages avec des familles voisines d'Auvergne, de Bourgogne ou du Berry un territoire qui n'avait d'existence que par leur volonté dynastique de pouvoir et d'expansion. En l'absence d'héritiers males, leurs filles, les dames de Bourbon, ont administré avec compétence le domaine familial. Ce sont ces quatres siècles d'histoire que raconte ce tome I.

"LES BOURBONS AVANT ET APRES HENRI IV ; MAISONS SOUVERAINES ET GRANDES BRANCHES DESCENDANTES" de Jacques Chateau
BOU6, 2008, 12 x 19, 320 p., 24 €
Après six siècles de patiente ascension dans leur bourbonnais d'origine, les Bourbons ont régnè, ou règnent encore, sur la France, l'Espagne, Naples et les Deux-Siciles, les duché de Parme et de Luxembourg, le Bresil. On sait que les Bragance, Busset, Carency, Condes, Contys, Duisans, Montpensier, Vendome et autres grands patronymes : Barbazan, Lavedan, Malauze, Roussillon en descendent. Mais comment et a quel point de l'histoire ?

"LA FONCTION ROYALE, Essence et Légitimité" de Jean Barbey
d'après les tractatus de Jean de Terrevermeille
Ref. FORO, 2003, 14 x 22, 420 p., 33,50 €
Contribution à l'érection d'une philosophie de l'état par un légiste, à partir des principes romains et aristotéliciens, lors de la crise de l'institution royale au début du XVe siècle. Les tractatus de Terrevermeille n'étaient-ils pas à l'origine de la théorie statutaire de la couronne, ne renfermaient-ils pas la première analyse juridiquement développée d'une transmission du pouvoir soustraite au plaisir du prince, n'offraient-ils pas la plus ancienne affirmation juridiquement fondée d'un pouvoir royal originellement délégué par les états du royaume ?

"GENEALOGIES 30.000 ancêtres de Henri d'Orléans comte de Paris (1908-1999) sur 41 générations et à travers 1200 lignages" de André de Moura
Réf GCDP, 2006, 16 x 24, 612 p., 55 €
On a rassemblé dans cet ouvrage les noms de la plus grande partie des ancêtres connus de Henri d'Orléans comte de Paris (1908-1999) classés par générations et dans leur lignages, selon un système nouveau, simple et logique.

"GENEALOGIE DES THURN UND TAXIS", de la Société heraldique Pictave
TUUT, 2005, 21 x 29,7, 160 p., 48 €
La tradition veut qu'un ancêtre de la famille La Tour se soit trouvé à Milan vers la fin du IVe siècle, quand, au cours d'une émeute, Saint Ambroise lui donne l'ordre de défendre un poste établi dans une tour. Pour le récompenser de son courage, l'évêque de Milan lui donne le nom de "de la Tour". On considére Martin delle Torre, qui mourut en croisade en 1147 comme l'ancêtre de la famille. Mais cette genealogie qui assimile les Thurn und Taxis aux Torre/Thurn=Tour, a été au XVIIe siècle controversée. Ce livre donne la genealogie très complète de cette famille princière de l'empire, qui s'est en particulier distinguée par son rôle dans les Postes allemandes. (table des noms cités)

"DES DUCHES AU ROYAUME" de Michel Dumontier et Frederick Gersal
Réf DURO, 1987, 14 x 21, 180 p., 25 €
Robertiens et capétiens : d'Eudes Ier, fils de Robert le Fort qui sauva Paris assiégé par les Vikings, à Hugues capet et ses successeurs qui continuèrent son oeuvre unificatrice, le Rex Francorum sut, malgré de sombres périodes ne jamais lacher prise et imposer peu à peu son autorité a ces provinces qui devinrent ce qu'est aujourd'hui la France.

"LA LEGITIMITE DES LYS ET LE DUC D'ANJOU" de Jean Silve de Ventavon
Réf LELY, 1989, 14 x 21, 240 p., 25 €
Ce livre explique la nature excate de la monarchie des Lys, narre la biographie des souverains très chrétiens de jure depuis la disparition en 1883 d'Henri V, observe la pensée du Duc d'Anjou et de Cadix, Alphonse II de droit...

"LES MYSTERES DU SANG ROYAL, de Charlemagne à Louis XVII existe-t-il une survivance ?" de Daniel Leveillard
Réf MSR, 2005, 14 x 22, 270 p., 23 €
Ce livre raconte deux histoires bien mystérieuses : d'une part, l'histoire cachée des rois de France, depuis Charles VII jusqu'à Louis XVII en passant par henri "second" et Henri IV ainsi que leurs fabuleuses maitresses, par où la batardise définit un mystérieux second arbre royal ; et d'autre part, l'histoire des rois cachés, depuis la restauration jusqu'à nos jours, par lesquels le sang royal demeure, définissant une branche maitresse, tout aussi fabuleuse...

"LES COMTES DE BLOIS ET DE CHAMPAGNE ET LEUR DESCENDANCE AGNATIQUE, genealogie et histoire d'une dynastie féodale Xe-XVIIe siècles" de Jean Gouget et Thierry Le Hête, avec la collaboration d'Odile Grangé et Edouard de Saint-Phalle
CBC, 2004, 21 x 29,7, 464 p., 49 €
Au Xe siècle, Hugues le Grand, duc des Francs, favorisa la fortune de Thibaud le Vieux et de son fils Thibaud le Tricheur, tous deux comte de Blois. Ainsi commença la fabuleuse ascension de la maison de Blois dont la puissance un siècle plus tard était en mesure de faire vaciller le trône des Capétiens. La captation de l'héritage des Vermandois carolingiens au début du XIe siècle, lui permit de se constituer au sein du royaume de France, la plus belle principauté féodale au moyen-age, le comté de Champagne. En 1305, avec la disparition de Jeanne, épouse de Philippe IV, s'éteignaient le comte de Champagne. Mais le sang des Blois se perpétua au travers de branches cadettes, dont certains membres s'illustrèrent dans l'histoire de France comme Henri V, sire de Sully sur Loire, ministre de plusieurs rois, ou Louis de Sancerre, Maréchal de France.
Ce livre a l'ambition de présenter une genealogie exhaustive de la dynastie Blois-Champagne, ce qui n'avait jamais été encore réalisé à ce jour.

"DYNASTIE MONTMORENCY" de Michel d'Herbigny.
950 personnages les plus illustres d'Europe et d'Amérique depuis 1000 ans : souverains, chefs d'état, militaires, religieux, papes, saints...
DYMO, 2005, 22 x 31, deux tomes, relié, nombr. ill. couleur et n & b, 1100 p., 300 €
Ce livre est la genealogie et l'histoire de la plus importante maison d'Europe, reprenant "l'histoire de la maison de Montmorency" par André Duchesne en 1623, la développant jusqu'à maintenant à tous les personnages illustres qui en sont issus directement ou par les femmes. Ce livre est composé en deux tomes : La première partie genealogie est divisée en 22 chapitres ; la deuxième partie Biographies, est chronologique.

"LA SYMBOLIQUE ROYALE FRANCAISE, Ve - XVIIIe siècle" de Hervé Pinoteau
RRF, 2004, 21 x 29,7, 680 p., nombreuses illustrations, index, 190 €
Cet ouvrage est le premier essai de synthèse sur la symbolique de l'état français depuis ses origines mérovingiennes jusqu'à la révolution. Sont évoqués ici tour à tour les mérovingiens, les carolingiens et les capétiens, trois dynasties étroitement unies et élaborant progressivement une riche symbolique qui fut un modèle pour bien des nations.

"LA MAISON DE BOURBON, 1256-2004" de Patrick Van Kerrebrouck
MABO, 2004, 19 x 27, 2 tomes, 1010 p., 90 €
L'ouvrage décrit la postérité de Robert de France, comte de Clermont et sire de Bourbon, sixième fils de saint Louis, à travers de nombreuses branches. Le lecteur y découvrira l'état-civil de plus de 2000 personnes, tant légitimes qu'illégitimes, issus de ce prince, répartis sur 23 générations, et de leurs conjoints, avec une chronologie des qualités, charges, dignités, fonctions, ordres de chevalerie et décorations dont ils ont été revêtus. Ceci est complété par l'étude des nombreuses possessions des branches de la maison, des titulatures, ordres et armoiries, ainsi que des prétentions de ses membres.

"LES VALOIS" de Patrick Van Kerrebrouck
VALO, 1990, 19 x 27, 734 p., édition numérotée, 95 €

"LES CAPETIENS, 987-1328" de Patrick Van Kerrebrouck
CAPET, 2004, 17 x 27, 766 p., 75 €

"LES LABORDE DE MONPEZAT ET LEURS ALLIANCES" de Joseph Valynseele
LMA, 1975, 16 x 25, 368 p., 40 €
Derniers exemplaires de ce livre qu'on ne présente plus, tant pour son sérieux, que pour la rigueur de son auteur. Une famille à la loupe : origine, qualité de noblesse, jugements à propos du nom, branche aînée, branche cadette, parentés et alliances. L'ouvrage définitif sur la question. (Table des noms cités)

"LES ANCÊTRES DE LOUIS XVII" de Eric Marchal de Salm
ALXVII, 2004, 15,5 x 24 cm, 320 p., 32 €
Cet ouvrage propose de partir à la découverte des personnages importants ou de moindre notoriété qui se cotoient dans l'arbre genealogique de Louis XVII pour étudier son ascendance en partant des Bourbons, des Lorraine et des Habsbourg, jusqu'à la onzième génération.

"MARIE DE BOURGOGNE" de André Besson
MABO, 1994, 14 x 22, 242 p., 21 €
Instrument innocent des ambitions démesurées de son père, la jeune princesse n'eut pas moins de treize prétendants, tous issus des plus grandes familles royales, de France, d'Angleterre, d'Espagne, d'Italie, d'Allemagne... Parmi les intrigues, les rivalités, les violences dont son mariage fut l'enjeu, Marie de Bourgogne vécut un amour secret et passionné pour son cousin sans fortune Philippe de Ravenstein, amour qu'elle dut sacrifier à la raison d'état...

"MARGUERITE D'AUTRICHE" de André Besson
MAAU, 1985, 14 x 22, 220 p., 21 €
Fille de l'empereur d'Allemagne Maximilien Ier, Marguerite d'Autriche fut "mariée" à 2 ans au dauphin de France qui la répudia pour Anne de Bretagne. Elle devint ensuite Infante d'Espagne par son union avec Dom Juan l'héritier des rois Catholiques. L'infant étant mort, après quelques années de veuvage, elle accepta le troisième époux que lui présentait son père, Philibert Le Beau, duc de Savoie. A nouveau veuve à 24 ans, elle se consacra alors à deux grandes oeuvres : la construction de l'église de Brou et à la fondation de la maison d'Autriche.

"PLADOYER POUR LE ROI MARTYR" de Jacqueline Chauveau
PRM, 1974, 14 x 22, 184 p., 18 €
Ce livre se veut un pladoyer. Il est avant tout, et surtout, un effort de vérité. Il ne s'agit nullement de passer sous silence les faiblesses ou les erreurs de Louis XVI, mais il insiste sur l'ampleur et la profondeur du drame, encore de nos jours si méconnu.

"DESCENDANCE INEDITE DU DUC DE BERRY", de Christophe BRUN,
DIDB, 1998, 128 p., 14 x 21 cm, 18,29 €

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DES MAISONS DE LIGNE ET D'ARENBERG" de Georges Martin
Tome I, Maison de LIGNE"
HMLA1, 2003, 15 x 23 cm, 260 p.,
Tome II, Maison d'ARENBERG"
HMLA2, 2003, 15 x 23 cm, 256 p., les deux tomes 92 €
Table des noms cités.

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