GENEALOGIES
(Monographies familiales)

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"GENEALOGIE DE LA FAMILLE PEPIN et ses différentes branches (Bretagne)" de Valence Pepin de Bellisle - Bazire.
PEPIN, 2009, 15 x 21, 108 p., 30 €
Histoire et genealogie détaillée de cette famille de la noblesse bretonne originaire de Combourg depuis le XVe siècle, et fournirent, entre autres, plusieurs corsaires de Saint-Malo.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA MAISON DE TALLEYRAND-PERIGORD" de Georges Martin.
TALEY, 2009, 16 x 24, 264 p., 50 €
Histoire et généalogie détaillée de cette ancienne et illustre maison du Perigord, issue des comtes du même nom.

"LA DYNASTIE DE BAUFFREMONT"
BAUF, 2008, 20 x 29,7, 38 p., 25 €
La famille de Bauffremont, qui totalisa deux chevaliers du Saint-Esprit et quatre de la Toison d'or, est une ancienne et illustre famille noble originaire de Haute-Lorraine.
Une légende attribue l'origine du nom de cette maison à Bowermund, chef des Burgondes qui, après s'être fait baptiser et avoir pris comme devise « Dieu aide au premier Chrétien », prit part en 427 à la défaite des Huns. Par la suite, celui-ci aurait fondé une place forte sur une colline des Vosges à laquelle ses fils auraient donné son nom. Beaufremont, situé à onze kilomètres de Neufchâteau, est aujourd'hui un village appartenant au département des Vosges.
Il semble qu'en 1030 - époque où vivait Eudes (ou Odon de Bauffremont) -, le château existe déjà avec un certain rayonnement. Sur leur demande, ses seigneurs y jouirent pendant un temps de certains droits régaliens par autorisation de leurs suzerains (chartes des empereurs Henri II, Frédéric Barberousse, etc.).

"L'HOMME DU CONCORDAT, LE CARDINAL DE BOISGELIN" de F. de Berthier
Réf BLIN, 2010, 352 p., 24 €
Sa vie, son œuvre, sa famille..
Table des noms cités

"HISTOIRE DE LA FAMILLE DE RIGAUD" de M. Vuillier
RIGA, 2009, 21 x 29,7, 42 p., 40 €
Histoire et généalogie détaillée de cette famillle du languedoc.

"LES CINQ PREMIERES GENERATIONS DE LA FAMILLE GOUYN (D'ANGERS)" de Gilles d'Ambrieres
GOUY, 1993, 16 x 24, 372 p., 29 €
Scènes de la vie quotidienne aux XVIe et XVIIe siècles à Angers. Généalogie et histoire de cette famille angevine qui a laissé de nombreuse traces, dont un hotel aujourd'hui transformé en musée. A visiter.

"HISTOIRE DE LA FAMILLE DE SAINT JEAN D'HONNOUX" de Maurice Vuillier
HONN, 2009, A4, 84 p., 40 €
Histoire et généalogie détailllée de cette grande famille méridionale.

"MONOGRAPHIE DE LA FAMILLE FERLAY, 1000 ans d'histoire" de P. Ferlay
FERL, 2009, 16 x 24, ill. couleur, 342 p., 30 €
Un millénaire d’histoire familiale qui s'étend sur les provinces du Dauphiné, de la Savoie et du Lyonnais, une région tourmentée par les rivalités seigneuriales, la guerre de cent ans, les mauvaises récoltes et la peste noire. Cette monographie est à la fois une généalogie et un essai historique de la famille éponyme, en particulier sur la période du Moyen-âge. De nombreuses anecdotes extraites de cartulaires et de fonds d'archives sont livrées au lecteur. Des ancêtres Ferlay ayant déménagé autrefois, le lecteur pourra aisément, grâce aux indications du livre, retrouver le chaînon manquant qui les relie à cette ancienne famille. Quant aux amoureux du passé et aux historiens, ils puiseront dans cette monographie riche en précisions des informations utiles sur les villages d'Hauterives, Tersanne, Yzeron, Sathonay, Miribel, Montluel et Vannas. Une chronique détaillée, des faits politiques de la région est présentée afin que le lecteur puisse comprendre les mœurs de cette époque reculée. L'histoire des nobles Ferlay est aussi explicitée en relation avec cette chronique ; il est essentiel de la lire attentivement pour mieux s'immerger dans le passé et comprendre la vie des gens. Cet ouvrage devrait toucher toute personne s’intéressant à la généalogie et soucieuse de connaître l'histoire de ses ancêtres ; une méthode efficace est également livrée au chercheur.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA FAMILLLE DE SIREGAND (en Languedoc)" de Maurice Vuillier
SIRE, 2009, A4, 86 p., 40 €
Histoire et généalogie des différentes branches de cette famille languedocienne.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA FAMILLLE DE VILLENEUVE (en Languedoc)" de Maurice Vuillier
VILL, 2009, A4, 72 p., 40 €
Histoire et généalogie des différentes branches de cette famille languedocienne.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA FAMILLLE DE SERS (en Languedoc)" de Maurice Vuillier
VILL, 2009, A4, 146 p., 45 €
Histoire et généalogie des différentes branches de cette famille languedocienne.

"LES CORBEL, CORBEAU de VAULSERRE" de Francois de Colbert
CORB, 2009, 21 x 29,7, 225 p., nb ill. couleur, 75 €
Cette famille s'est particulièrement illustrée par ses relations avec Tamié et la Grande Chartreuse, par ses fonctions de gouverneur des Échelles, de Miolans, de Nice, de Pavie, d'Yvrée. Plusieurs de ses membres se couvrent de gloire au siège de Turin, en 1696 ; à la prise de Malte en 1798 ; en tant que commandant des frontières de Savoie ; en remplissant d'importantes fonctions religieuses au sein de l'Église et politiques auprès du duc de Savoie, au service de Malte ou de la couronne de France. C'est ainsi que plus de 200 membres de cette famille, présentés dans cet ouvrage, se sont manifestés au cours des neuf siècles écoulés.
Table des alliances

"LA FAMILLLE DE LA ROCHEFOUCAULD ET LE DUCHE-PAIRIE DE LA ROCHE-GUYON AU XVIIIe" de Michel Hamard
LARO, 2008, 16 x 24, 462 p., 40 €
L'ouvrage nous fait voir combien importent, dans le monde de la haute noblesse, la gestion et l'exploitation d'un espace rural multiforme, et permet d'appréhender le comportement de toute une population qui, par son insertion dans le dispositif administratif du duché-pairie ou par sa participation à l'effort d'aménagement de cet ensemble domanial, participe de la mise en valeur de cette région et sait en tirer des profits à la fois en termes d'accumulation de capital et de mobilité sociale. Le duché-pairie offre ainsi un terrain d'expérimentation fécond pour comprendre les relations entre l'aristocratie et sa base rurale au XVIIIe siècle.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA FAMILLLE DE MONTAUT (en Languedoc)" de Maurice Vuillier
MONT, 2009, A4, 86 p., 50 €
Histoire et généalogie des différentes branches de cette famille languedocienne.

"LES CHEVIGNARD 15e-21e siècles" de Bernard Chevignard
CHEV, 2008, 17 x 24, 345 p., 39 €
La famille CHEVIGNARD, qui fit souche à Beaune au milieu du 15e siècle, est toujours restée fortement implantée en Bourgogne. Artisanat, négoce, notariat, offices au bailliage, puis à la Chambre des comptes et au Parlement de Dijon... Cette longue ascension est ici esquissée à travers l'évocation de plusieurs personnages marquants :
• Jean CHEVIGNARD (1536-1606 ?), médecin et poète, alias Jean-Aimé de CHAVIGNY, secrétaire de Michel de NOSTREDAME (1561-1566), passa sa vie à cultiver la poésie, l'histoire, l'astrologie et les sources chrétiennes ;
• Théodore CHEVIGNARD de CHAVIGNY (1687-1771) et son neveu Charles GRAVIER de VERGENCES (1719-1787) s'illustrèrent au sein de la diplomatie française du 18e siècle ;
• Antoine Théodore CHEVIGNARD (1732-1808), tout au long d'une oeuvre philosophique assez conséquente et d'une brève carrière politique (1790 1793), fut un propagateur passionné des Lumières.
D'autres destinées furent plus discrètes : tel maire de Beaune eut l'honneur de recevoir la reine Christine de Suède en 1656, et de modestes érudits locaux devinrent au 19e siècle des naturalistes distingués. On croisera aussi dans ces pages Mme de RÉMUSAT (1780-1821), née Claire de VERGENNES, dont la vive sensibilité préfigure une nouvelle approche de la relation conjugale, ou la jeune carmélite dijonnaise ÉLISABETH de la TRINITÉ, née Élisabeth CATEZ (1880-1906), lumineuse apôtre de la vie intérieure, béatifiée par le pape Jean-Paul II le 25 novembre 1984, ou encore le peintre Édouard DARVIOT (1859-1921).

"NAISSANCE D'UNE DYNASTIE DU COGNAC, RICHARD HENNESSY 1727-1800" de Monique Le Tac
HENN, 2008, 14,5 x 22, 190 p., 20 €
Fils d'un seigneur irlandais, Richard Hennessy, alors âgé de dix-neuf ans, quitte le comté de Cork, comme beaucoup de ses compatriotes, pour échapper à l'oppression anglaise. Il part pour la France rejoindre la brigade irlandaise au service du roi Louis XV, mais très vite il choisit de se lancer dans l'aventure commerciale : en 1765, il crée un site de négoce des eaux-de-vie à Cognac. L'installation et les débuts s'avèrent difficiles, malgré l'ouverture d'un comptoir à Bordeaux où Richard s'appuie sur la colonie irlandaise très influente. Ce sont également les débuts du négoce pour plusieurs maisons dont celle de son concurrent le plus redoutable, Martell. Quant à James Delamain, établi à Jarnac, il est un peu le « parrain » de tous ces jeunes Irlandais venus s'installer aux bords de la Charente. La maison Hennessy traverse bien des crises pendant ce demi-siècle, elle résiste à la guerre contre l'Angleterre, puis à la Révolution française ; Richard devra aussi faire face à des tragédies familiales. Malgré cela, Richard maintient la maison et la fixe définitivement à Cognac où elle prendra un essor considérable au cours du xixe siècle. Dirigée par son fils James, elle deviendra « la première en taille, la première en qualité constante de ses produits, la première surtout en vision pondérée du métier et en sens de l'innovation». Finalement, toutes caractéristiques héritées directement de son fondateur. Depuis, huit générations se sont succédé à la tête de l'entreprise qui a conquis une notoriété mondiale.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA MAISON DE CASTELLANE" de Georges Martin
CAST, 2008, 15,5 x 24, 266 p., 44 €
Histoire et généalogie de cette famille de Provence, qui est une des plus célèbrs maison non ducale. Les premiers connus de cette famille occupaient une situation considérable et se conduisaient en veritables souverains. Il sont issus de la neuvième famille la plus ancienne de France.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DES COMTES DE CHAMPAGNE ET DE BLOIS et leurs alliances des origines à leur extinction" de Michel Demorest
CTCH, 2008, 21 x 29, 25 €
Formée de plusieurs comtés, la Champagne carolingienne tombe aux mains de la famille de Vermandois au début du Xe siècle avec Herbert II. Maître des comtés de Vermandois et de Soissons ainsi que des abbayes de Saint-Quentin et de Saint-Médard, Herbert II agrandit ce patrimoine familial des comtés de Meaux et de Laon tandis qu'il obtient pour son fils l'archevêché de Reims. A sa mort (943), ses enfants se partagent puis agrandissent les possessions. Liégeard, la fille aînée, obtient Provins. Herbert le Vieux, comte d'Omois et abbé laïque de Saint-Médard de Soissons, devient maître de Vitry et obtient la charge de comte du Palais, origine du titre de comte palatin que porteront plus tard les comtes de Champagne. Robert, comte de Meaux, devient par son mariage comte de Troyes, quant au cadet, Albert, il obtient le comté de Vermandois.

"LES COMTES ET DUCS DE NEVERS et leurs alliances des origines à leur extinction" de Michel Demorest
CTNE, 2008, 21 x 29, 25 €
Le Moyen-Âge est une période très agitée pour le Comté avec des guerres continuelles, notamment sous Guillaume Ier (Xème siècle), Guillaume II, Guillaume III, Guillaume IV et Guillaume V. En 980, le duc de Bourgogne, Eudes-Henri (Henri 1er) remet le comté de Nevers à son beau-fils, Otte-Guillaume (980-989) fils d’Adalbert II, roi d’Italie. Celui-ci à son tour donne le comté de Nevers à Landry (989-1028), sire de Metz-le-Comte (Nièvre) et de Monceaux-le-comte (Nièvre), lors du mariage de ce dernier avec sa fille Mathilde en 992. De cette union naîtra la première maison des comtes de Nevers, d’Auxerre et de Tonnerre. Le Comté de Nevers va ainsi appartenir successivement aux familles Courtenay, Donzy, Châtillon, Flandre et Bourgogne, Seigneur de Maers et Monceaux, Sénéchal de France. En 1184 Pierre de Courtenay, cousin germain du roi Philippe Auguste, épouse Agnès comtesse de Nevers. En 1194, il fait ceinturer la ville de Nevers par une nouvelle muraille et bâtir son château à l’emplacement de l’actuel Hôtel de Ville, puis entre en querelle avec Hervé, baron de Donzy, qui le fait prisonnier en 1199.

"HISTOIRE DE LA FAMILLE DE GAIL" de Patrice de Gail
GAIL, 2008, 15 x 24, 296 p., 28 €
Originaire de la région de Cologne, la famille de Gail est citée dès le XIIe siècle. Sa filiation certaine démarre de Joint Gail, membre du patriciat de Cologne, cité en 1510. Ses descendants occupent une place importante dans la cité rhénane pendant tout le XVIe et le début du XVIIe siècle, d'abord juristes, puis militaires, religieux ou responsables dans de nombreux domaines de la vie civile. Son petit-fils. Andréas, né en 1526, jurisconsulte éminent et chancelier, est l'auteur du code civil en usage jusqu'au règne de Napoléon Ier. L'empereur Charles Quint anoblit Philippe de Gail en 1545, et Maximilien II confirme en 1573 Andreas, son fils, dans sa noblesse par un titre du Saint-Empire romain germanique, pour lui-même et ses descendants. Seules subsistent aujourd'hui les branches françaises ayant pour ancêtre commun Henri-André (1580-1663), fils d'Andreas, installé en Alsace : celle de Saverne, issue de son premier mariage avec Sophie de Quentel, et celle d'Obernai, issue de son second mariage avec Marguerite de Broich.

"DESCENDANCE DE PIERRE DE SURIREY DE SAINT REMY, lieutenant de l'artillerie de France" de Henri-Louis de la Bretèche
SURI, 2008, 17 x 24, 576 p., 48 €
Originaire de Normandie, la famille de Surirey de Saint Remy gagna la région parisienne au cours du XVIIe siècle où elle possédait plusieurs propriétés. Elle commenca alors son ascension sociale tant en servant dans l'armée à des grades d'officiers qu'en s'alliant à de bonnes familles bourgeoises, et parvint à la noblesse en 1710 par le rachat d'une charge de secrétaire du Roi en la chancellerie du Parlement de Besancon. Pierre de Surirey de Saint Remy (1645-1716) devint en 1692 commissaire provincial puis lieutenant du grand maitre de l'artillerie, le duc du Maine, à qui il dédia ses Mémoires d'Artillerie, publiés en 1697 et plusieurs fois réédités.
Table des noms cités

"HISTOIRE DE LA FAMILLE de NOE (Comminges)" de Maurice Vuillier
NOE, 2008, A4, 170 p., 40 €
Généalogie, suivie des preuves de noblesse de cette grande famille de la noblesse de Comminges.

"LA FAMILLE D'ACHILLE TENAILLE DE VAULABELLE, un ministre pionnier de l'éducation nationale 1799-1879" de Frédéric de Berthier de Grandry
TENA, 2008, A4, 446 p., 45 €
Pour inscrire cette étude sur cette famille, les Tenaille, dans l'histoire de leurs proches, de leur région, de notre pays, Frédéric de Grandry s'est efforcé de rassembler de nombreuses anecdotes, des illustrations variées, qui sont autant d'éléments permettant de mettre en relief la personnalité de chacun. A travers l'histoire de La Famille Tenaille, c'est l'histoire de la société française que nous pouvons suivre, dans sa diversité sociale, dans ses transformations et ses bouleversements. Cette saga familiale, riche en figures locales ou nationales, passionnera plus d'un lecteur...
Table des noms cités

"LA FAMILLE GUITTON EN FOREZ, Ascendance et descendance d'Auguste Guitton (1815-1901)" de Jean-Paul Guitton.
GUIT, 1989, 2007, 16 x 24, 406 p., 33 €
Originaire de Charlieu, entre Saône et Loire, la famille Guitton remonte à Charles Guitton, maître tanneur au début du XVIIe siècle. Au XVIIIe siècle, par son alliance avec Marie Berry La Barre, fille d'un riche négociant, l'échevin de Roanne Antoine Guitton connaît une belle ascension sociale et intègre la bourgeoisie de province. Fin XVIIIe, grâce au troisième Antoine, marié à Thérèse Lacombe en 1802, l'activité familiale, associée aux Lacombe et Goiran, se reconvertit du négoce au commerce de commission en soieries à Lyon. La présente étude est centrée sur Auguste Guitton (1815-1901), notable stéphanois, arrière grand-père de l'académicien Jean Guitton (1901-1999) et ancêtre de l'auteur. Elle étudie les ancêtres Guitton à Charlieu et à Roanne, à Roanne et Saint-Just pour les Berry La Barre, à Cadix puis Couzon pour les Lacombe et les Goiran ; l'installation d'Auguste Guitton à Saint-Etienne, appelé aux affaires de son beau-père, André Simon Nicolas Boutérieux ; enfin la postérité d'Auguste, qui a largement essaimé en dehors de Saint-Etienne.

"HISTOIRE DE LA FAMILLLE DE DURFORT" de Maurice Vuillier.
ref DURF, 2007, 21 x 29,7, 116 p., 50 €
Histoire et généalogie très détaillée de cette illustre maison.

"ESSAI GENEALOGIQUE LES DUGUET" de Alain Chapellier.
DUG, 2007, 14 x 20, 78 p., 20 €
La famille LE GUAY, DU GUET puis DUGUET subsiste, mais les historiens d'aujourd'hui n'en font plus état et elle ne figure pas dans les nobiliaires modernes; Elle était, sous l'ancien régime, fort bien alliée ; la branche de Lalobbe a été maintenue noble en 1669 par Caumartin, intendant de Champagne.

"LES BLACQUE-BELAIR, Ascension sociale et plongée dans la culture" de Philippe Champy
BLAB, 2007, 16 x 24, 144 p., 39 €
Principales situations évoquées : la Turquie au XIXe siècle, la fondation de la Banque de France, maisons de banque parisiennes, les mines de Poullaouen en Bretagne, la maison Quesnel frères au Havre, la presse parisienne (Echo de Paris, Epoque et Figaro), la rencontre de Gaulle/Reynaud, la collaboration de Gaulle/Pironneau, les salons de Meg de Saint-Marceaux, Geneviève Straus et Ida Godebski, le Cadre noir de Saumur, figures du saint-simonisme, les guerres de 14 et 40, les rencontres de Pontigny, le Maroc de Lyautey à l'indépendance, le Plan du 9 juillet 1934, la maison Chanel dans l'industrie textile, le débarquement américain en A.F.N., Coco Chanel en 1942, la participation des Blacque-Belair à la création littéraire au XXe siècle (Céline et son Voyage au bout de la nuit, Maurois et les Dialogues sur le commandement, le Lierre et les Lunettes vertes de Pierre Brisson, l'Agneau de Francois Mauriac).

"HISTOIRE DE LA FAMILLE DE ROQUELAURE" de Maurice Vuillier
ROQU, 2007, 72 p., format 21 x 29,7, 40 €
genealogie très détaillée de cette famille et de ses différentes branches.

"LES COURCY, mille ans d’histoire d’une famille normande" de P. Champy
COUR, 2007, 182 p., 16 x 24, 45 €
Généalogie de cette puissante lignée de barons normands, avec ses différentes branches françaises et une partie de la branche anglaise. Table des noms cités.

"LES VIMAL-GAULTIER DE BIAUZAT" de Laurence Froment.
VIGA, 2007, 16 x 24, 430 p., 38 €
Le 27 août 1792, le couperet de la guillotine tombe trois fois de suite. Les trois suppliciés ont été jugés coupables de fabrication de faux assignats, la monnaie révolutionnaire. Deux d'entre eux sont auvergnats, originaires d'Ambert dans le Puy-de-Dôme. Ils s'appellent Vimal et Sauvade. Vimal est le beau-frère de l'un des hommes les plus connus d'Auvergne à cette époque, Jean-Francois Gaultier de Biauzat, avocat, ancien député à l'Assemblée Nationale Constituante et maire de Clermont, alors juge au tribunal du 4e arrondissement de Paris. Comment un jeune homme issu d'une famille de négociants aisés, avocat lui-même, a-t-il pu finir exécuté pour escroquerie ? C'est ce que l'auteur de cet ouvrage va reconstituer pas à pas, d'Auvergne à Paris, de la quiétude provinciale à la tourmente révolutionnaire, à travers des documents d'archives, dont principalement les correspondances de Biauzat, inédites pour la période antérieure à 1789.

"UNE FAMILLE VIVAROISE, LES VOGUE" du marquis de Vogue.
VOG, 2007, 16 x 24, 3 tomes, 376 + 370 + 198 p., 105 €
Histoire, sources et généalogie très documentée de cette illustre maison du Vivarais parue initialement en 1912.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA MAISON DE LEVIS" de Georges Martin.
LEVI, 2007, 15 x 24, 316 p., 45 €
Histoire et généalogie très documentée de cette illustre maison.

"LES PARDAILLAN-GONDRIN, ducs d'Antin ou la descendance du marquis de Montespan" de Raymond Veisseyre
Ref. PAGO, 2006, 16 x 24, 318 p., 39 €
Le patronyme des Pardaillan-Gondrin respire sa Gascogne profonde. Mais la famille sait aussi négocier des alliances fructueuses pour arrondir son patrimoine et magnifier ses armoiries. A pas de chat, elle approche du pouvoir parisien. Au début du XVIIIe siècle, c'est presque fait. Si le mariage du marquis de Montespan avec la flamboyante Francoise de Rochechouart-Mortemart a tourné à l'aigre pour cause de cocufiage royal, leur fils légitime Louis-Antoine brûle les étapes de l'ascension sociale et partage vite le dessus du panier nobiliaire avec les plus grands noms Uzès, Noailles, Montmorency-Luxembourg. Il atteint les sommets : surintendant des Bâtiments du Roi, gouverneur de l'Orléanais, duc d'Antin, pair de France et, pour couronner le tout, chevalier du Saint-Esprit, l'ordre le plus prestigieux de l'Ancien Régime. Il paya de sa personne : pendant 30 ans, sous Louis XIV, le Régent et Louis XV, son sens du devoir, son dévouement à l'art, son acharnement au travail en font un grand serviteur moderne de l'Etat dans la défense et l'embellissement du patrimoine architectural et paysager français dont nous profitons encore aujourd'hui. Souvent calomnié de son vivant, oublié des historiens ou relégué au rôle de brillant courtisan par Sainte-Beuve, il mérite d'être réhabilité. Son petit-fils, Louis II, très engagé dans la franc-maçonnerie, sera le premier grand maître français des loges du royaume pendant 5 ans succédant à trois exilés britanniques stuartistes. Devenus hommes de Cour les 3 ducs d'Antin, ci conservent le goût gascon de la parade et du luxe ostentatoire pour glorifier leur réussite. L'or fond vite au soleil de Versailles. Les dettes accumulées et la mort précoce des descendants du premier duc, emportés par les épidémies du temps, donnent à la dynastie un destin d'étoile filante.

"LA DESCENDANCE DE NICOLAS FOUQUET" de Joël Aubailly
Réf FOUQ, 2006, 16 x 24, 190 p., 23 €
Nicolas Fouquet, fidèle à Mazarin tout au long de la Fronde, obtient le poste de surintendant des finances en 1653. La fortune fabuleuse amassée au cours de ses huit années de service lui permet de faire construire le chateau de Vaux-le-Vicomte. Colbert qui le poursuit d'une haine tenace, guette sa place et tant de splendeur finissent par irriter le Roi... Sa descendance s'etend sur 15 générations ; on y trouve des personnages aussi variés que la duchesse de Berry, Madame Chirac, Claudia Cardinale, Louise de Vilmorin, Marguerite Yourcenar, Philippe de Villiers, Albert de Mun...

"LA DESCENDANCE DU GENERAL DE MONTHOLON (1783-1853) Compagnon de Napoléon à Sainte-Hélène" de Michel Sementery
Réf MONT, 2006, 16 x 24, 136 p., 25 €
Une longue amitié avec Bonaparte le mène à partager six années de captivité à Sainte-Hélène et plus tard six autres au fort de Ham avec le futur Napoléon III. De ses deux mariages avec Albine de Vassal et Caroline O'Hara, il a cinq enfants, dont deux meurent jeunes et un sans postérité. Son second fils, Charles-Frédéric est l'ancêtre des familles Arago, de Candé, Garcin, de Malherbe, Secretan...

"COUSINS DES AMERIQUES, Ascendance de Josefa Evelina MUZARD (1835-1913)"France (Champagne, Normandie, Saintonge, Maine, Aquitaine), Québec, Terre-Neuve, Ile Royale, Saint-Pierre & Miquelon, Cayenne, Martinique, Saint-Domingue, Louisiane, Illinois, Arkansas, Cuba, etc., de Patrick BINET
CAME, 2003, CD ROM, 53 €
Au travers de l'étude de l'ascendance de sa trisaïeule, Française née à Cuba en 1835, l'auteur étudie les familles des premiers colons des différents établissements français en Amérique du Nord. Il nous fait revivre les heurs et malheurs de la politique coloniale française en Amérique. La saga commence au milieu du XVIe siècle en France dans chacune des provinces d'origine de ses ancêtres (Champagne, Normandie, Saintonge, Maine, Aquitaine). Elle se poursuit avec les premiers établissements à Québec, la fondation de Montréal, la colonisation de Terre-Neuve, la fondation de Louisbourg en l'île Royale, celle de la Louisiane, la perte de la Nouvelle-France et l'essaimage vers Saint-Pierre et Miquelon, les Antilles françaises, la Guyane, Saint-Domingue, etc. À l'aube du XIXe siècle, c'est la révolution à Saint-Domingue, la perte de la colonie, la vente de la Louisiane aux Etats-Unis et la fin d'une présence française forte.
L'étude est divisée en cinq grandes parties correspondant aux familles suivantes : CHAUVIN, RABELLEAU, AUBER, SAUX, MILLY, BARON, PIGEOT, FAURÈS, MUZARD. Elle traite des familles alliées et des descendances tant masculines que féminines de chacune d'entre elles. De ce fait, elle intéresse de très nombreuses familles et tous ceux qui ont un intérêt genealogique ou historique pour les familles des différents établissements français d'Amérique.

"UNE ENQUETE GENEALOGIQUE LES VIGNY" de Michel Caussin.
VIGN, 2007, 15 x 21, 362 p., 27,50 €
Découvrir et retracer la rencontre d'une famille et de l'histoire d'un pays est un projet qui connaît un succès croissant en histoire et plus généralement en sciences sociales. On s'est en effet mieux rendu compte depuis le milieu du 20ème siècle de la nécessité de regarder la micro-histoire pour comprendre la grande histoire : un terroir, un village, des lieux, des trajets et surtout des familles, se croisent pour tisser la trame d'une France toujours en devenir, vers le meilleur d'elle-même quand elle échappe au pire. Il faut pour cela de la méthode : c'est ce que Michel Caussin propose à tous ceux qui voudront reconstituer l'histoire d'une famille, peut-être la leur, avec celle d'une région ou d'un pays, voire d'un continent. Suivre son exemple, utiliser son ouvrage comme un modèle, comme un canevas, seront le chemin le plus sûr pour qui voudra réaliser un travail sérieux, exhaustif, scientifique. Au-delà de son intérêt méthodologique le cas étudié ici est doublement intéressant : l'un des plus grands poètes que la France ait compté faisait partie d'une famille illustre, dont bien d'autres membres ont laissé leur trace dans l'Histoire du pays. C'est donc aussi bien l'historiographie de ce flamboyant romantique, anxieux de son ascendance, qu'un inventaire de personnages qui ont marqué de nombreux événements de la politique européenne du second millénaire. Michel Caussin a mené une véritable « enquête généalogique » pour reconstituer et assembler ces nombreux morceaux de vie d'une famille et plus largement de familles se croisant dans la trame d'une plus grande Histoire, celle d'un pays et même déjà celle de l'Europe. Il s'agit donc bien d'un modèle à suivre, en commençant par un système d'annotation et de référencement pouvant être adapté tel quel par tous ceux qui voudront reconstituer la généalogie d'une famille de façon aussi exhaustive que possible.

"LE SANG DE L'AIGLE DE MEAUX, histoire et descendance des frères et soeurs de Jacques Bénigne Bossuet, évêque de Meaux 1627-1704" de Jacques-Régis du Cray.
SAM, 2004, 16 x 24, 510 p., 55 €
Histoire et descendance des frères et soeurs de Jacques Bénigne Bossuet, évêque de Meaux, précepteur du grand Dauphin et le plus célèbre orateur du grand siècle. Trois cent ans après la mort de Bossuet, cet ouvrage se présente comme un hommage des descendants de sa famille retrouvant avec lui leur parenté.

"ESSAI GENEALOGIQUE ; LES PAVANT" de Alain Chapellier.
PAVA, 2007, 15 x 21, 60 p., 20 €
La famille de PAVANT, originaire du Soissonais, près de Château-Thierry, s'est fixée dans le Rethélois par le mariage de Wermont de HARTENNES, seigneur de Pavant avec Marguerite D'ESCANNEVELLE.

"LES DARU DU XVIe AU XIXe SIECLE" de Henri Daru.
DARU, 2007, 15 x 21, 378 p., 25 €
Le comte Daru, intendant général de la Grande Armée, ministre secrétaire d'Etat, est bien connu, mais sa famille l'est beaucoup moins depuis jean Daru, venu de Valréas chercher fortune à Grenoble à la fin du seizième siècle, la montée en puissance de la famille Daru a été progressive, un maire de Grenoble au dix-septième siècle, un capitoul de Toulouse au dix-huitième, et enfin le comte Daru et ses fils Napoléon, ministre des Affaires étrangères de Napoléon III en 1870, et Eugène, caissier général de la Caisse des Dépôts et Consignations et propriétaire d'une écurie de chevaux de courses. De curieux parents d'Amérique, les sudistes Daru-Gagnon, un cousin missionnaire, martyrisé en Chine et canonisé par Jean-Paul II, le père Francois Régis Clet, le destin tragique du vicomte Pierre Daru au Japon, avec sa conclusion inattendue, la construction de la cathédrale de Tokyo, et enfin le face-à-face passionnant du comte Daru avec l'histoire de Venise, complètent un tableau où apparaît à plusieurs reprises le cousin Henry Beyle dit Stendhal, familier de la famille.

"Christophe-Philippe OBERKAMPF, sa famille et sa descendance" de Michel SEMENTERY.
FAOB, 1990, 16 x 24 cm, 312 p., 43,45 €
Quelle belle réussite que celle de Christophe-Philippe Oberkampf ! Fils d'un teinturier de Bavière, il n'avait que 21 ans lorsqu'il fonda à Jouy-en-Josas la première manufacture de toiles imprimées à l'aide de planches de cuivre gravées. Ses merveilleuses"toiles de Jouy"eurent tout de suite un immense succès et sa manufacture employa plus de 1 000 personnes dans la première décennie du 19e siècle. Naturalisé français en 1770 et anobli en 1787 par Louis XVI, Oberkampf a eu, de ses deux mariages, 8 enfants dont 4 seulement atteignirent l'âge adulte. Ils firent de brillants mariages et leur descendance, où foisonnent les grands noms de la noblesse et de la bourgeoisie française, est présentée ici avec une grande précision et de nombreuses notes historiques et biographiques.

"HAUSSMANN, sa famille et sa descendance" de Joseph Valynseele.
GEHA, 1982, 16 x 24 cm, 115 p., table des noms cités, 16,77 €

"LE DUC DE RIVIÈRE, sa famille et sa descendance" de Diane de Maynard.
DURI, 1990, 16 x 24 cm, 95 p., 22,11 €
Acteur éminent d'une période difficile, Charles-Francois de Rivière sut dès le début choisir son camp : dès 1789, il avait rejoint le comte d'Artois en émigration à Turin. Pendant 15 ans, il mena ensuite, au service des comtes de Provence (Louis XVIII) et d'Artois (Charles X), une vie aventureuse à travers l'Europe entière et lors de dangereuses missions en France. Arrêté en 1804, il passa près de six ans en prison, refusant de servir l'empereur malgré des promesses de libération anticipée. Le retour des Bourbons lui apporta sa récompense: une ambassade à Istamboul, puis un poste de capitaine des gardes du roi et un titre de duc.
Charles-Francois de Rivière avait épousé en 1811 Antoinette de La Ferté-Meun. Ils eurent trois enfants, mais un seul d'entre eux laissa une descendance par les familles Law de Lauriston de Boubers et de Luppé. Au-delà de la biographie et de la descendance, l'auteur présente les proches parents du duc de Rivière (sœurs, beau-frère, tante) et leur descendance, ainsi que les propriétés ayant appartenu à la famille, permettant ainsi de saisir dans sa globalité l'environnement familial et social d'une personnalité trop peu connue, car éminente et attachante.

"LA MARQUISE DE SEVIGNE & SA DESCENDANCE" de Arnaud Chaffanjon
Réf MASE, 1962, 384 p., 18 x 24 cm, 45,73 €
Etude sociologique et genealogique des descendants de la célèbre épistolière. Ce livre est d'une grande exactitude. Table des noms cités.

"ACTES DE LA FAMILLE PORCELET D'ARLES" publié par Martin Aurell
ACPO, 732 p., 15 x 23 cm, 69 €
Index des noms de personnes et des noms de lieux.

"DERNIERS SOUVENIRS DE FAMILLE" de Charles-Edmond Regnault de Beaucaron Tome VII
Réf DESO, 291 p., 15,5 x 24 cm, 42 €
Ultimes souvenirs agrémentés de recherches genealogiques et d'histoire familiale. Tables des noms de personnes et des noms des lieux cités.

"VERSAILLES A TRAVERS SES GRANDES FAMILLES" de Paule-Cécile Minot
Réf VGF, 1994, 230 p., 19 x 23 cm, 24,39 €
Histoire et genealogie des grandes familles versaillaises que sont les : d'Albignac, Baillet-Reviron, Blondel, Borgnis-Desbordes, Brouard, Clair, Destremeau, Fouques-Duparc, Fremy, Hazard, Ibert, Manuel, Mignot, Pluchet, Puteaux, Remilly, Rougevin-Baville, Salone, Savouré, Schmitz, Tardif dit Delorme.

"GENEALOGIE & PARENTE" par Louis Urvoy de Portzamparc
Réf GPU, 1998, 1050 p., 15 x 24 cm, 61 €
Somme fournissant de nombreuses genealogies des familles alliées aux Urvoy.
Table des noms de familles étudiées

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA FAMILLE DE COURTENAY et de ses alliances de Pierre de France à son extinction " de Michel Démorest
Ref. COUR, 2007, 21 x 29,7, 15 €
La branche mâle des premiers seigneurs de Courtenay s'éteint donc sous Louis VII, avec Renaud de Courtenay : l'héritière est Elisabeth de Courtenay, arrière-petite-fille de Hutto, qui épouse Pierre de France, dernier fils de Louis VI le Gros. Ses descendants prennent le nom et les armes des Courtenay. Pierre II, fils de Pierre de France, épouse en premières noces l'héritière des comtés de Nevers, Auxerre et Tonnerre, Agnès. Par là il accède au titre comtal (à défaut d'un mariage avec une héritière, ou d'un don d'apanage par le Roi, les fils cadets de France passaient, dans l'ordre du protocole, après les ducs et comtes et les officiers de la Couronne). Agnès ne lui donne qu'une fille, Mahaut, que Pierre marie à Hervé de Donzy. Mahaut aura une fille, Agnès, qui épousera Philippe de France, fils aîné du Dauphin Louis (futur Louis VIII). Agnès (la femme de Pierre II) meurt en 1192. Pierre se remarie avec Yolande de Hainaut, soeur de Baudouin, qui sera élu empereur de Constantinople en 1204, et de Henri, qui succédera à son frère en 1206.

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA FAMILLE DE LOUVIERS et de ses alliances, des drapiers de Paris aux seigneurs de la Brie et du Gâtinais" de Michel Démorest
Ref. LOUV, 2007, 21 x 29,7, 25 €
Ce document est le fruit d'une dizaine d'années de recherches sur certaines grandes familles du Gâtinais, de la Beauce et de la Brie. Ces familles étaient si imbriquées entre-elles qu'il était inconcevable d'en extraire l'une ou l'autre sans avoir préalablement étudié, en profondeur, leurs alliances. Aujourd'hui, grâce à ces données et à l'outil informatique, l'auteur est en mesure d'écrire, de la façon la plus complète, chacune de leur histoire. Symboliquement, il a voulu que la première étude sur ces familles franciliennes revienne aux Louviers, en hommage à ses ancêtres qui les ont très certainement côtoyés. Bien que les sociétés savantes et généalogiques de la Seine-et-Marne aient déjà mené d'excellentes enquêtes sur les Louviers, son étude, incontestablement motivée par sa propre chasse aux ancêtres, aura pu compléter, voire modifier, leurs éminents travaux.

"NOTES SUR LES COMTES D'ARTOIS, LA MAISON DE HARCOURT, LES FAMILLES DE NOLLENT, DE TOLLEMER ET CORDOEN" de Hugues Rousselle de La Perrière
Ref. HARC, 2007, 21 x 29,7, 2 tomes, 750 p. nb illustrations, 140 €
Généalogie très complète et richement illustrée de ces grandes familles normandes et de leurs descendances.

"HISTOIRE DES COLBERT DU XVème AU XXème SIÈCLE" de Francois de Colbert.
HICO, 2002, 640 p., 24 x 32 cm, 215 €
La passion de l'histoire a tout naturellement entraîné Francois de Colbert vers de nombreuses investigations approfondies sur les Colbert. Ce volume de 640 p., aboutissement de vingt années de recherches, aussi bien dans les archives publiques que privées, retrace les différentes branches de cette famille. Cette étude présente 370 de ses membres échelonnés sur 15 générations qui se sont illustrés de différentes manières au cours des siècles.
Plus de détails sur l'ouvrage

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA MAISON DE LA TOUR DU PIN" de Georges Martin
GTDP, 2006, 16 x 24, 264 p., 45 €

"Une grande Famille Provençale : les d'ALBERTAS" de Luc Antonini
ALBR, 2006, 16 x 24 cm, 250 pages, 40 ill., 3 Tabx. Geneal., 31 €
Les Albertas, originaires de la ville d'Albe en Italie, viennent s'installer en Provence dans la région d'Apt en 1360. La famille occupera les plus hauts postes dans la ville d'Aix, notamment au sein du parlement de Provence. Formidables bâtisseurs, ils construiront un merveilleux hôtel particulier à Aix, ainsi que la place qui porte leur nom. Dans la campagne, ils édifièrent le chateau de Gémenos et son fameux parc. Ils sont également à l'origine des jardins d'Albertas à Bouc Bel Air (ouverts à la visite). Aujourd'hui, la famille d'Albertas est divisée en deux branches : l'aînée qui, à la fin du XIXème siècle s'est installée en Italie et la cadette qui vit toujours dans la propriété familiale de Bouc. De cette prestigieuse famille, descendent tous les grands noms de l'aristocratie provençale, mais aussi de nombreuses familles de chartrons bordelais et autres noms connus. Après des années de recherches et de rencontres genealogiques, Luc Antonini nous présente cette famille, de ses origines à nos jours. Parmi ces nombreux descendants, nous retrouvons artistes, ecclésiastiques, écrivains, princes, grands patrons, vignerons, scientifiques et même un célèbre joueur de bridge ! Cet ouvrage constitue un ouvrage de référence pour tous les chercheurs et amateurs de l'histoire de la Provence. C'est aussi une véritable bible pour tous les membres de cette famille.

"GENEALOGIE DES FOUQUET, descendance de Nicolas Foucquet et de la branche de Chalain" de Claude-André Fougeyrollas
FOPI, 2006, 21 x 29,7, 312 p. 45 €

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